Le premier fût de bière et autres plaisirs ridicules
C'est demander du feu dans la rue un soir d'hiver à un inconnu, le voir sortir un briquet, l'allumer et se pencher à l'abri du vent contre une vitrine, moi faisant de même, lever la tête et se retrouver nez à nez avec une collection de poulets déplumés, bien gras, au garde à vous, prêts pour la cuisson dominicale, dans la vitrine d'une boucherie. Et rigoler.
C'est lire le nom d'une demoiselle à son insu, sur une petite étiquette en tissu, vous savez, celles que nos mamans devaient coudre dans nos gants pour la classe de neige. Et trouver ça touchant.
Ne boudons pas nos plaisirs, c'est toujours mieux que de finir dans un puisard à eaux usées.
C'est lire le nom d'une demoiselle à son insu, sur une petite étiquette en tissu, vous savez, celles que nos mamans devaient coudre dans nos gants pour la classe de neige. Et trouver ça touchant.
Ne boudons pas nos plaisirs, c'est toujours mieux que de finir dans un puisard à eaux usées.
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